Un document récent fait le point sur les méthodes alternatives envisagées à ce jour à la fracturation hydraulique des schistes méthanogènes : par changement de liquide, par choc électrique ou par explosif.
Certes, ces méthodes épargnent l'importante quantité d'eau nécessitée par le procédé actuel... mais ils consistent toujours à provoquer, par un procédé mécanique, des fissures dans la roche-mère, par lesquelles les produits chimiques utilisés, du méthane et des radionucléides pourront diffuser et contaminer le sous-sol. Et il s'agit de produire la même énergie fossile, avec le même effet de serre et le même réchauffement climatique.
Finalement, une confirmation du peu d'avenir écologique de la fracturation !