Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • L'ASPAS veut protéger les Renards

     
     


    « J'aime les renards ! »,
    la nouvelle action de l'ASPAS pour les enfants

     

    L’Association pour la Protection des Animaux Sauvages (ASPAS) lance l’action « J’aime les renards ! » à destination des jeunes enfants, en partenariat avec Wakou. À l’aide de documentations et d’une exposition gratuites, l’association compte sensibiliser les adultes de demain à la connaissance et au respect de notre biodiversité à travers cette opération nationale.

     
    Désinformation, mensonges, aberrations scientifiques et légendes ont grandement contribué à la mauvaise réputation du renard roux. En France, il subit l’acharnement des chasseurs dont le seul but est de légitimer « une inéluctable régulation » auprès des médias et de l’opinion publique. De nombreuses contrevérités perdurent à travers les générations, parfois jusque dans les milieux scolaires, et n’ont de cesse de ternir l’image de cet animal incontournable de notre patrimoine naturel.

    Non, le renard n’est pas dangereux pour l’homme ! Il ne transmet pas plus de maladie que les chiens ou les chats. Non, il n’est pas « nuisible », et non, il ne prolifère pas. En revanche il s’agit d’un animal fascinant, aux capacités d’adaptation exceptionnelles.
     
     

    L’ASPAS met gratuitement à disposition des écoles, clubs nature ou centres d’animations un kit de sensibilisation « J’aime les renards ! », dans la limite des stocks disponibles. Composé d’une exposition de 8 panneaux (60 x 40 cm), de dépliants participatifs pour les enfants et d’une documentation supplémentaire pour l’enseignant / animateur, ce kit permettra de mieux faire connaître notre patrimoine naturel et d’engager le débat sur la cohabitation avec la faune sauvage.

    Sur chaque dépliant, un volet vierge est réservé à l’écriture d’une belle histoire ou à la réalisation d’un dessin dont le renard est la vedette. Les enfants qui enverront leur création recevront chacun un autocollant « J’aime les renards, je les protège avec l’ASPAS ».
    Les enseignants ou animateurs peuvent centraliser les créations et les expédier dans un même courrier adressé à l’ASPAS.

    Les écoles, les clubs nature, les structures et organismes liés à l’animation et à l’environnement sont les bienvenus pour participer et relayer cette action.

    Mieux connaître la nature, c’est déjà la protéger !
    Campagne réalisée en partenariat avec Wakou.

     
    Partager cette information sur les réseaux sociaux ICI
     
     
     



    Télécharger le bon de commande du kit de sensibilisation « J’aime les renards ! »: ICI

    Plus d'informations : ICI

    Pour toutes informations complémentaires :
    actions@aspas-nature.org

     
     
     

  • Cash Investigation s’intéresse à la toxi-culture

    insecticides,phytoElise Lucet a consacré la dernière enquête de son émission Cash Investigation aux dangers de l'agriculture qui manie les insecticides cancérigènes, mutagènes et reprotoxiques avec largesse et opacité.

    Du dosage des toxiques dans les cheveux des enfants aux CA des multinationales en passant par le lobbying de sénateurs complaisants et les promesses de Stéphane Le Foll, le documentaire tente de mettre au jour le milieu des phyto-sanitaires.

    Le ton incisif de l'émission est toujours là..., mais l'opacité est telle qu'il était difficile de faire autrement. Depuis sa diffusion, les réactions sont nombreuses, tant du côté des associations écologistes que du côté des producteurs.

    Cap21 Lorraine

  • La loi sur la Biodiversité largement (amendée puis) votée au Sénat

    biodiversitéLe projet de "loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages", a été adopté au Sénat par 263 voix contre 32.

    Malgré la très forte majorité obtenue à la surprise générale, le texte amendé fait débat.

    Si la création d'une Agence Française de la Biodiversité mutualisant quatre structures existantes est bien accueillie, son périmètre est par contre très contesté. En excluant, sous la pression du lobby des chasseurs, l'Office national de la chasse et de la faune sauvage, le projet se trouve de facto réduit aux espaces marins et aux parcs naturels.

    Des points importants sont cependant acquis :
    - la non-brevetabilité des gênes du vivant et la répartition plus équitable des bénéfices de l'exploitation des ressources génétiques au profit des producteurs locaux (protocole international de Nagoya),
    - la création du préjudice écologique et de la notion de compensation,
    - la meilleure protection des espèces en danger, et le respect de "l'environnement nocturne",
    - l'élargissement de la notion de paysage protégé lors de l'aménagement des territoires.

    Mais, une fois de plus, les lobbies ont fait leurs ravages.
    Outre les chasseurs qui continueront à chasser sans restrictions nouvelles, les pêcheurs pourront toujours chaluter en eaux profondes et les chimistes pourront continuer à vendre leurs insecticides néonicotinoïdes tueurs d'abeilles.

    Malgré ces restrictions, un communiqué des associations LPO, FNE, Fondation Nicolas Hulot et WWF appelle à un passage rapide en 2ème lecture à l'Assemblée nationale.

    Cap21 Lorraine

    Environnement magazine
    Actu-Environnement
    Le Monde