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Actualités - Page 13

  • • Débat national sur la Transition Energétique

    Le débat national sur l’énergie est lancé jeudi 29 novembre avec la première réunion du comité national sur la transition énergétique, regroupant l’ensemble des acteurs concernés.

    transition énergétiquealexandre darmon

    Ces discussions, qui doivent durer six mois, déboucheront en juillet sur la présentation au Parlement d’une loi de programmation sur la transition énergétique. Nucléaire, gaz de schiste, mais surtout économies d’énergie et montée en puissance des énergies renouvelables sont au menu.

    Un très bon article dans La Croix, particulièrement orienté vers les coûts de cette transition.

    http://www.la-croix.com/Actualite/S-informer/France/Transition-energetique-le-debat-est-ouvert-_EP_-2012-11-28-881420#

  • • Débat national sur la Transition Energétique

    Le débat national sur la transition énergétique débute ce jeudi 29 novembre en vue de la préparation d’une loi de programmation à l’automne 2013.

    transition, energetique, debat nationalC’est évidemment une étape importante et attendue pour confronter les points de vue et dessiner les contours de la politique énergétique française à l’horizon 2050.

    CAP21, parti écologiste indépendant, regrette de ne pas être associé directement à ces travaux malgré la demande formulée auprès de Delphine Batho. Des contributions seront cependant apportées au travers des débats territoriaux.

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  • ••• LA FRANCE EN 2017 AVEC CORINNE LEPAGE

    En 2017, la France a changé et repris confiance en elle et en son destin. Le souhaitable est devenu réalité. Cette transformation radicale a été rendue possible par la réforme, mère de toutes les autres, celle des rapports de force dans la société. Les lobbies ne font plus la loi, ni à l'égard des politiques, ni dans l'économie, ni dans les domaines sanitaires et scientifiques, ni dans les médias. La classe politique n'est plus « hors-sol » et les élus nationaux ne bénéficient plus d'aucun privilège. Le pouvoir judiciaire est enfin reconnu, cependant que l'indépendance des médias à l'égard des grands groupes industriels, comme du pouvoir politique, est garantie.

    La France de 2017 a su redonner leurs droits aux  citoyens et rééquilibrer les pouvoirs à tous les niveaux de la société, y compris en donnant aux femmes, qui représentent désormais 40 % des assemblées et du gouvernement, des droits effectifs. De nouveaux moyens d'expression démocratique assurent un réel pouvoir aux citoyens :transparence sur toutes les dépenses publiques, référendum d'initiative populaire, système proportionnel ou reconnaissance du vote blanc, compétence du nouveau Conseil de la société civile et des générations futures. Les consommateurs, grâce à l'action de classe, ont établi de nouveaux rapports de force avec les producteurs. De même les salariés, qui sont désormais actionnaires représentés dans les Conseils d'administration des plus grandes entreprises, peuvent se faire entendre des managers et des actionnaires.

    La réduction du poids des lobbies, et par voie de conséquence du trafic d'influence, a permis que des décisions conformes à l'intérêt général à court et à long terme puissent être prises, et ce dans tous les domaines. Le classement de la France dans les indices internationaux de perception de la corruption a progressé spectaculairement. Le « Tout Pour les Grands Groupes » a laissé la place à une croissance sans précédent des petites et moyennes entreprises qui disposent désormais de l'accès au crédit et d'un statut protecteur des créateurs et des entrepreneurs. Le chômage a régressé grâce à une stratégie de reconquête économique et d’innovation qui ne favorise plus les seules entreprises du CAC 40. La France des idées et des projets est repartie.

    Dans le domaine financier, le politique a repris la main, permettant le financement de l'économie par la finance et non l'inverse. Les Français peuvent désormais utiliser leur épargne pour favoriser les projets qu’ils ont choisis, pour des raisons locales ou de filières.

    La transition énergétique a réellement démarré dans la mesure où le lobby nucléaire n'exerce plus sa toute-puissance pour interdire la création d'un véritable secteur industriel des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique. Le programme SOLEIL a donné confiance dans la pérennité des politiques et, de manière plus générale, la France des idées a été remise en marche. L'innovation vient de l'aide aux créateurs, les échanges grâce aux logiciels libres sont devenus autant d'occasions de créer des start-up, des petites entreprises, des coopératives.

    La relance des territoires grâce à la décentralisation énergétique est une réalité qui a accompagné un effort sans précédent en faveur du produire local. Celui-ci commence par une agriculture qui a retrouvé ses lettres de noblesse et fait de la haute productivité environnementale un label  français. Les circuits courts, qui se sont démultipliés, permettent à la fois des revenus corrects et garantis aux paysans et une alimentation de qualité et moins coûteuse aux consommateurs.

    La France de 2017 a engagé son désendettement grâce à une politique fiscale juste qui a contraint les sociétés du CAC 40 à payer normalement l'impôt et qui a supprimé ,grâce notamment aux prélèvements à la source de l’IRPP et de la CSG, de nombreuses niches fiscales. Les dépenses de l'État et des collectivités territoriales se sont réduites grâce à un véritable partage des rôles, la définition de priorités dans l’emploi du denier public, la suppression des dépenses somptuaires ou injustes et la responsabilité de ceux qui engagent les dépenses.

     Ce désendettement n'a pas empêché l'investissement, grâce à la sélectivité, pour encourager ce qui est l'essentiel : l'emploi et la valorisation des ressources.

    Le maintien d'un haut niveau de protection sociale a été rendu possible grâce à de nouvelles formes de coopération entre l'État et l'économie sociale et solidaire. Les nouvelles formes d'organisation économique  , les systèmes d’échange locaux, le micro crédit se sont démultipliés, permettant la création de très nombreux emplois et une amélioration des conditions de vie pour chacun.

     

    Cette politique a permis à la France de 2017, qui dispose désormais de nouveaux indicateurs de développement et de bien-être, de voir son patrimoine collectif recommencer à croître et les biens publics mis à disposition des citoyens s'améliorer. À «L'environnement ça suffit » a succédé une politique qui fait de la valeur des ressources un indicateur majeur de la richesse collective et de la qualité de vie.

    Dans la France de 2017, les Français vont mieux grâce à une politique de prévention systématique, à commencer par la réduction des pollutions et des produits toxiques et une information correcte des consommateurs. L'accès aux soins est désormais possible pour tous, les déserts médicaux régressent, en particulier grâce à la télémédecine dispensée dans des centres médicaux locaux.

    La France de 2017 est celle du bien vivre. La valorisation de nos terroirs, la qualité de nos paysages et de la nature, de notre gastronomie et de notre culture ont refait de la France la première destination touristique mondiale, favorisant l’essor économique local. L'amélioration de nos villes, la réduction des pollutions urbaines, le développement des circulations douces, une politique de logement axée sur la réutilisation systématique des friches urbaines et industrielles ont apporté de nombreuses réponses.

    En 2017, l’école républicaine a retrouvé sa finalité première qui est de transmettre des connaissances et de développer des capacités  - apprendre à apprendre, coopérer, etc. -  pour s’épanouir personnellement, bien vivre en société et pouvoir s’adapter aux changements de toutes natures. Elle est redevenue une véritable école de la citoyenneté, chaque élève en sortant avec une connaissance précise du fonctionnement des institutions. La formation professionnelle, en se transformant pour mieux encourager l’acquisition des compétences et leur renouvellement tout au long de la vie, a contribué à réduire les difficultés à retrouver un emploi.

    La France de 2017 garantit la neutralité de son réseau Internet et ne censure plus aucun site sans décision judicaire. Par une réforme du droit d'auteur, elle a accompagné la mutation des industries du divertissement et autorise le partage non-commercial de biens culturels. Son secteur public (école, administration, etc.) utilise désormais exclusivement des logiciels libres.

    La France de 2017 s'est attaquée à toutes les «dettes toxiques » (écologique, climatique, sociale) afin  de ne pas faire peser sur les jeunes des charges insurmontables. Une politique en faveur de la jeunesse commence par la responsabilité des adultes dans les dettes qu’ils contractent et qui devront être payées à l'égard des jeunes générations. Mettre un terme à ces dettes est impératif avant même de définir des politiques spécifiques. Les jeunes ne sont pas une clientèle électorale, pas plus qu'une catégorie à part. L'effort fait en faveur de l'éducation, de la création, du portage de projets s'est d'abord fait en leur direction.

    La France de 2017 est une France dont les Français sont fiers parce qu'elle a renoué avec les idéaux de la république – liberté, égalité, fraternité et laïcité - dont elle ne fait pas des slogans mais des actes. Dans une Europe qui a décidé de faire du politique et du social son objectif sans se limiter à l'orthodoxie financière ou au libéralisme, la France joue pleinement son rôle parce qu'elle a reconquis sa liberté de manoeuvre. Elle a pu œuvrer  en faveur d'une mondialisation régionale qui reconnaît la nécessité de compenser le dumping social et environnemental ainsi que d'une construction européenne qui assure la cohérence des politiques fiscales et sociales.

    L’abandon de toute politique post colonialiste a permis à la France de retrouver la confiance de ses partenaires.

    La France de 2017 est optimiste, confiante et rassemblée. Comme l’écrivait Peter Drucker : « La meilleure façon de prédire l’avenir, c’est de le créer ».

  • Nucléaire- Fessenheim or not Fessenheim pour le candidat du Modem?

     François Bayrou est donc opposé à la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim malgré l’analyse étayée des risques d’accidents graves que lui a prodigué son proche conseiller et porte-parole Yann Werling, ancien Vert. En toute logique, ce dernier, fort de ses convictions, aurait dû réagir. Il n’en est rien.

     S’il fallait un nouvel exemple du difficile mariage entre les convictions vraies et celles de circonstances, le pas de deux entre le candidat du MoDem et son principal spécialiste en est une parfaite illustration. L’opportunisme en politique montre les limites de l’exercice. Il ne s’agit pas de savoir si l’on ferme Fessenheim ou pas. Il ne s’agit pas de savoir si de puissants lobbies tirent les candidats par la culotte. Il s’agit de proposer à nos concitoyens une vision claire pour l’avenir prenant en compte les enjeux véritables sur tous les grands sujets de société, parmi lesquels la politique nucléaire.

     Au moment où Corinne Lepage est régulièrement critiquée d’avoir quitté le Modem, il est bon de rappeler qu’en 2007, son ralliement au candidat Bayrou s’appuyait sur quatre moratoires dont le nucléaire. On voit aujourd’hui ce qu’il en est de l’engagement du candidat du MoDem : une posture interchangeable, au gré des opportunités.

     En définitive, cette actualité révèle les limites et les dangers de campagnes électorales où des positions clientélistes s’affichent, troublant ainsi la compréhension du citoyen sur des questions éminemment complexes. Force est de constater que le candidat MoDem, tiraillé entre de nombreuses contradictions, se livre aux mêmes contorsions que beaucoup d’autres. Il n’en a pas fini, si l’on observe la palette des alliances en cours !

     Et pourtant, pour convaincre durablement nos concitoyens, seules la conviction et la cohérence sur une ligne claire d’analyses sont garantes de propositions solides et d’un message crédible.

     La campagne ne fait que commencer !

    Estelle Le Touzé

    Porte parole de la campagne de Corinne Lepage

  • VIVEMENT LA VRAIE CAMPAGNE !

    Entre un Nicolas Sarkozy qui pense balayer en quelques mois, 5 ans d'une gestion calamiteuse de la France par des propositions aussi tardives qu'incohérentes, et un François Hollande qui multiplie les couacs et cafouillages (accord EELV, suppression du QF puis seulement modification, création puis simple lissage d'emplois dans l'EN....),

    Pauvres électeurs que nous sommes avec pareil choix !

    Heureusement, la campagne officielle donnera à chaque candidat le même temps de parole.

    Nous verrons alors que d'autres voies, d'autres solutions existent avec Corinne Lepage qui présentera un programme au centre duquel l'Etre Humain reprend toute la place que la finance lui a prise avec toutes les conséquences graves que l'on connaît aujourd'hui.

    L'Etre Humain en général, le Français en particulier, semblent bien loin des préoccupations des "coqs" plutôt attentifs à leur combat tous e(r)go(t)s surdimensionnés aiguisés.....

    Maryse Villaume

     

  • CORINNE LEPAGE A LONGWY

    Le mardi 17 janvier Corinne Lepage accueillie par Bernard Lahure, Maire de Villers la Chèvre :

    - clôturera à 16 h la conférence "efficacitté énergétique et énergies alternatives à l'IUT de Longwy puis visitera le futur éco-pôle sur le territoire de Longwy

    - tiendra une conférence de presse à 18H 30 à la salle communale de Villers la Chèvre

    - et une conférence publique à la salle communale de Côsnes et Romain.

     

    Venez nombreux. N'hésitez pas à m'appeler ou m'adresser un mail pour organiser des co-voiturages.

    Merci

    Maryse Villaume : 06 80 59 69 25 - maryse.villaume@club-internet.fr

  • VERS UNE PERTE DU TRIPLE A


    La probable dégradation de la note de la France par S&P va entrainer mécaniquement une croissance du coût du capital pour les ménages, l'Etat, les entreprises publiques et les banques. La perte du triple A absorbera les effets d’une croissance de 2% de la TVA annihilant les effets des annonces présidentielles comme la TVA sociale si elle était mise en œuvre.

    Comme on pouvait l’envisager, les annonces récentes de la TVA sociale et la taxe Tobin n’étaient-elles pas tout simplement destinées à anticiper cette dégradation probable.

    La politique conduite depuis 2007 (loi TEPA, Bouclier fiscal, augmentation desdépenses fiscales) est responsable de cette situation, au moins autant que la crise.

     

    Que faire ?

     

    Le(a) prochain(e) Président(e) devra faciliter le financement des PME et des investissements de long terme pour éviter la récession, avec une marge de manoeuvre très réduite. Pour cela, il lui faudra innover pour parvenir à orienter les capitaux privés.

     

    C’est en cela que nous proposerons un projet et un programme innovant pour la France

     

    Corinne Lepage