Le débat national sur l’énergie est lancé jeudi 29 novembre avec la première réunion du comité national sur la transition énergétique, regroupant l’ensemble des acteurs concernés.
Ces discussions, qui doivent durer six mois, déboucheront en juillet sur la présentation au Parlement d’une loi de programmation sur la transition énergétique. Nucléaire, gaz de schiste, mais surtout économies d’énergie et montée en puissance des énergies renouvelables sont au menu.
Un très bon article dans La Croix, particulièrement orienté vers les coûts de cette transition.

De nombreux acteurs industriels, en particulier de la filière du pétrole, s’intéressent de près à l’exploration-production des ressources de gaz non conventionnels dispersées dans le monde (gaz de schistes, gaz de houille, gaz de réservoirs compacts), contribuant à une redistribution de la géostratégie énergétique internationale.
La lecture du rapport du comité directeur pour la gestion de la phase post accidentelle d'un accident nucléaire (Codirpa), publié par l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), me laisse abasourdie. Certes, la possibilité d'un accident nucléaire en France est enfin considérée comme suffisamment sérieuse pour devoir faire l'objet d'une réflexion publique et en profondeur sur ce qu'il conviendrait de faire...
CAP21 se réjouit et encourage les responsables de cette opération à faire tous les efforts possibles pour réduire des 2014, au plus tard début 2015, la réduction du flux annuel d'azote se déversant dans la baie de 60 tonnes environ générées par environ une centaine d'exploitations. 
C’est évidemment une étape importante et attendue pour confronter les points de vue et dessiner les contours de la politique énergétique française à l’horizon 2050. 
Comme nous le supposions, Jean-Marc Ayrault a confirmé ce matin que la question de l’exploitation des hydrocarbures non conventionnels (gaz et huiles de schiste) n’était pas tranchée, sous réserve de recourir à des techniques différentes de la fracturation hydraulique.